Flowart, a physical activity at the level of hypermodernity, even hypomodernity

Romain Roult • Frédéric Martineau

DOI: 10.31382/eqol.211206


Abstract

Our current hypermodern era, as described by many authors, imposes frenzied rhythms of life on individuals exacerbated by new communication technologies. In this incessant tumult, it has become more and more difficult for humans to take time for themselves or even a moment to reflect on their daily lives. It therefore seems necessary for some to indulge in more contemplative and meditative leisure and sporting activities that reconnect with the principles of otium and thus fall into a form of hypomodernity. It is in this reflective context that this study was conducted to interview seven flowart practitioners using a qualitative approach. Halfway between artistic practice and physical activity, flowart seems to allow these individuals to reconnect with a rhythm of life that is more biological than digital. These participants see a way to slow down the frenzy of their daily life in this practice while becoming more aware of their place in a cosmic and metaphysical whole.

Keywords: flowart • hypermodernity • hypomodernity.




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